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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 13:49
jud à Hiroshima jud à Hiroshima
 
Samedi dernier nous avons eut la venue d'Aba Shanti from UK.
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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 13:41
jud à Hiroshima
Kana (la grande soeur de Daiji) et un de ses collègues de bureau.


jud à HiroshimaA

vec l'Automne AUX DINING a sorti sa nouvelle carte : ci-dessus des crevettes cuisant dans l'huile d'olive et l'ail), elles sont servies en omelette au fromage, il y a également des gyozas "une-bouchée", une hamburger servi avec une nouvelle sauce, du poisson grillé de saison (du sanma en ce moment, espèce de maquereau japonais très fin et long), etc..

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Jun et Naoki en train de terminer la préparation d'Okonomiyakis (la spécialité d'Hiroshima : on trouve des okonomiyakis dans d'autres villes mais sans soba, dans l'assiette du milieu l'okonomiyaki est fait avec des sobas épicées)

jud à Hiroshima jud à Hiroshima

Nous avons mangé notre okonomiyaki à la vraie manière : directement sur la plaque et avec la spatule de métal.

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A Koba
 
jud à Hiroshima
Susu et Kana

jud à Hiroshima
Kana et Daiji (son frère le plus mignon selon elle)

jud à Hiroshima
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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 13:23
jud à Hiroshima jud à Hiroshima
 
Je continue à mon rythme à apprendre les kanjis, mais sans stress puisque je n'ai pas d'objectifs particuliers ni en temps ni en compétences (j'aimerai tout de même à terme être capable de pouvoir tout lire).
J'apprends déjà pas mal en échangeant des textos avec les amis, j'apprends à la volée en regardant la télé puisque la plupart du temps tout est sous-titré (je n'ai jamais bien compris pourquoi d'ailleurs), en écrivant avec le telephone portable ou l'ordinateur puisqu'en écrivant en romaji, le texte se transforme automatiquement en kanjis (parfois il y a plusieurs choix possibles puisque de nombreux homonymes en japonais mais je vérifie alors dans un dictionnaire).
Ensuite quasi quotidiennement j'utilise le logiciel Anki, qui permet d'apprendre ce que l'on veut avec la très efficace méthode de répétion espacée : tous les jours des cartes apparaissent, on coche selon que l'on a réussi (facilement, difficilement, j'ai fait une erreur, j'avais complètement oublié, etc..) et le logiciel choisi selon ces réponses la fréquence de réapparition des cartes. Cette méthode a été découvert par un scientifique allemand Sebastian Leitner qui a étudié la mémoire humaine.
Lorsque ce sont de nouveaux kanjis, je vais vérifier l'ordre de traçage des traits dans le dictionnaire en ligne kanji.free.fr ou dans yamasa online kanji dictionnary mais il semblerait que l'on puisse ajouter un pluggin sur Anki, et je copie quelques lignes du nouveau kanji à apprendre.
C'est pour l'instant la meilleure méthode que j'ai trouvée.
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13 octobre 2008 1 13 /10 /octobre /2008 13:21
jud à Hiroshima jud à Hiroshima
 
Voilà les petites cartes que nous avons trouvé dans des petits gâteaux que nous a offert Ya-chan dans son bar Purple Tongue...
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10 octobre 2008 5 10 /10 /octobre /2008 06:40

Je suis arrivée au Japon le 28 juin 2007, je suis donc là depuis 1 an et 3 mois, avec un 1er et seul retour d’1 mois en France assez récent.
Beaucoup de choses ont changé depuis cette 1ère année :

La 1ère année, je ne pensais pas particulièrement à la France, lorsqu’on me demandait si certaines choses me manquaient, j’avais beau réfléchir rien ne me venait à l’esprit : ni la nourriture, ni la culture, ni les habitudes, un peu les proches mais c’était tout à fait supportable. L’idée même de devoir y retourner à un moment m’embêtait plus qu’autre chose.
Au contraire, je voulais m’immerger à fond : la langue (je me suis assez vite forcée à n’utiliser que le Japonais malgré mon faible niveau et ce même avec les amis dont le niveau d’anglais est assez bon), la nourriture (j’étais très déçue lorsqu’on me proposait d’aller manger dans un resto étranger) , j’évitais presque les contacts avec d’autres étrangers (rendus de plus difficiles par que j’avais presque fait un bloquage avec l’anglais tant je m’interdisais de l’utiliser avec les Japonais), bref je voulais du tout-Japon, du vrai et je ne voulais pas en louper une miette parce que je pensais alors que mon expérience se limiterait à 1 année prévue par mon visa working-holiday de l’époque.

La 1ère année, on* renie presque ses origines, on ne pose que des questions sur la culture japonaise, on ne se soucie pas du fait que les gens ne s’interrogent pas sur votre provenance (ben une gaijin ça vient de Gaijin-land et ça parle gajinnois pardi – un gros mélange flou désigant principalement les Etats-Unis et l’anglais comme langue maternelle). Cependant mes amis m’ont toujours félicité de ne pas être tombée dans la vision gaga admirative du Japon ni dans l’extrême inverse : « mais comment vous faites pour... » « je comprends pas comment vous pouvez... » « mais c’est incroyable !!, pour quoi vous faîtes comme ci et pas comme ça !!?? » (c’est-à-dire comme chez nous, la référence en normalité... pour certains)

Cette année en revanche, depuis ce retour, je passe mon temps, avec un certain plaisir, à expliquer la culture et l’esprit français (s’il en est et en toute modestie), décrire la cuisine en expliquant les particularités des différentes régions (je me suis même surprise à cuisiner des plats que je n’avais jamais cuisiné en France !
 

un gratin dauphinois qui a été bien aprécié


L’année dernière lorsqu’on me demandait ce qu’on mangeait en France, ce qu’il y avait de bon je répondais « ben... je sais pas... pfff.... de toute façon je sais pas cuisiner », à tenter de définir notre humour, à expliquer les particularités de notre langue, à expliquer ou décrire certaines de nos habitudes ou coutumes, à défendre l’existence d’une politesse française et de certaines règles qui peuvent aussi chez nous s’avérer difficiles (et si vous en doutez encore je vous envoie l’oeuvre complète et traduite de Nadine de Rotschild !), l’éducation des enfants, l’école, je conseille des auteurs ou des films, etc...
Bref je suis un peu passée du statut « d’espionne infiltrée » à celui « d’ambassadrice » (oui bon on va faire les tatillons sur les mots..)

Beaucoup de choses me manquent maintenant dont certaines que je viens de citer : la cuisine (plutôt italienne ou provençale pour ma part et je fais de grosses fixettes par moments : comme les ravioles de Roman par exemple, qui étant un produit frais, me paraissent impossible à faire parvenir ici ou le fromage)
[Voilà quelques unes de mes amplettes d’aujourd’hui d’ailleurs : un magasin très fourni en produits étrangers : européens, américains ou asiatiques (Chine, Thaïlande, Viet-Nam, Inde, Indonésie..) qui se trouve dans la galerie souterraine Sharéo près de la sortie du stade de Base-Ball. Il y avait un grand choix de fromages de marque française par exemple, un peu moins interessant pour les vins en revanche. Pour le pain de boulangerie ou les produits frais il vaut mieux aller chez Andersen.]


L’esprit et l’humour (même si mes progrès en japonais me permettent peu à peu de retrouver le mien ici), les proches, certaines ambiances... et on m’écoute avec intérêt. Je revendique mes origines ou du moins m’agace un peu plus quand je constate que des gens que je fréquente depuis de nombreux mois ne sont jamais préoccupés de savoir de quelle région de Gaijin-land je venais. Je fais aussi quelques entorses aux régles de politesse japonaise : une en particulier : lorsque l’on est à table et que l’on boit un alcool en bouteille (vin ou nihonshu principalement puisque le reste se commande principalement au verre) on n’est pas censé se servir soi-même : la régle exige que l’on serve l’autre et que celui-ci vous prenne la bouteille des mains pour vous servir à son tour, cela demande une certaine attention pour s’assurer que le verre de l’autre n’est jamais vide et une bonne coordination de mouvement pour feindre de se servir soi-même mais laisser l’occasion à l’autre de saisir la bouteille de vos mains. En France, on a plutôt l’habitude de servir les autres en premier puis de se servir soit même à la fin. Comme je trouve cette règle un peu pénible et fatigante, je joue en général le jeu pour le 1er verre puis continue ensuite « à la française », « si on le faisait à la française ? c’est rigolo ».

 Je n’ai pas pour autant le « mal du pays », ni l’envie de retourner vivre en France pour le moment mais si les moyens me le permettaient j’aimerais pouvoir y retourner plus souvent, genre tous les 4 mois.

* J’emploie « on » par commodité mais je n’engage que moi dans ce « on ».

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10 octobre 2008 5 10 /10 /octobre /2008 06:36

jud à Hiroshima

Les conserves de verre emballées unes par unes dans du papier à bulles (parfois dans du grillage air-bag comme les fruits de la photo n°3)

 

jud à Hiroshima
 
Le sachet-glaçon pour conserver le fromage au frais.


jud à Hiroshima

Les fruits ou les tomates emballés également un par un dasn ce genre de grillage (je rapelle qu'ici on achète les fruits et légumes à l'unité et non pas au poids)

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9 octobre 2008 4 09 /10 /octobre /2008 13:14
En ce moment j'ai des tas d'idées d'articles qui me viennent en tête, sur ce que j'observe quotidiennement qui me paraît parfois presque anodin aujourd'hui mais qui sont pourtant des particularités toutes japonaises, mais également sur des faits qui se "révèlent" petit à petit comme des particularités japonaises à force de les observer à plusieurs reprises et qui auraient pu m'échapper à l'époque ou je m'installais ici et avais tant de nouvelles choses bien plus flagrantes ou pitoresques à découvrir.
Je devrais prendre un peu plus de notes quand ces idées me viennent à l'ésprit mais j'etais récemment un peu trop occupée pour le faire.
Donc aujourd'hui ce sont quelques reflexions en vrac.

Les petits pas : je ne sais plus où j'ai lu quelque chose à ce sujet, sur un des blogs que je consulte et que vous pouvez trouvez dans ma section "liens".
En effet, où que vous alliez : à la banque, au conbini, dans n'importe quel administration, chez le coiffeur (l'article du blog en question portait justement sur un séance chez le coiffeur) : vous observerez les employés mais plus particulièrement celles de la gente féminine, se déplacer en trottinant, presqu'en courant mais de manière un peu plus délicate tout de même, tout cela pour vous montrer (à vous le client mais sûrement au patron aussi) qu'elle se presse pour vous servir et accomplir sa tâche. Comme le faisait justement remarquer l'auteur du blog, cela n'accélère en rien la manoeuvre puisque cette manière de "trottiner" ne fait pas avancer plus vite qu'une démarche naturelle, mais au moins vous avez l'impression qu'on se plie en 4 pour vous.
D'ailleurs, je l'ai sûrement assez dit, mais où que vous soyez le service sera toujours irréprochable : on vous accorde beaucoup d'attention, on s'excuse immédiatement de vous avoir fait attendre même si cela n'a absolument pas été le cas, on vous couvre de formules de politesse (vous ne vous trouverez jamais face à une employée de poste soupirant, et vous montrant qu'elle en a ras le bol et qu'elle préfèrerait rentrer chez elle, ni face à une caissière blasée, on ne sous-entendera jamais que quoi que ce soit puisse être de votre faute ou que c'est vous qui avez mal compris, qui n'avez pas bien lu, etc..)
D'ailleurs les explications des personnes qu vous servent peuvent être fatiguantes et vous paraîtront insupportablement longues : pour le moindre renseignement que vous demandez vous aurez droit à un discours long comme la bible pour s'assurer que vous n'ayez plus aucun doute en ressortant (j'en ai fait entre autre l'expérience quand je suis allée demandé un abonnement internet chez Yamada Denki)

Au super marché : un peu dans le prolongement de ce que je viens de vous expliquer : en France, on arrive avec son caddie à la caisse, la caissière enrgistre vos articles et vous empaquetez vous-même vos achats sur le bout du tapis (ce qui rend le passage de chaque client bien plus long et vous oblige à attendre des heures avant le vôtre)
Au Japon : vous arrivez avec votre panier (que vous pouvez poser sur un petit chariot le temps de vos courses, mais ici ce sont de tous petits paniers sur de tous petits chariots, les doses étant toujours minuscules et les japonais préférant les produits frais donc rapidement perissables et forcément achetés en petite quantité - très peu de conserves et de produits surgelés ici) puis vous le posez sur le tapis de la caisse.
La caissière enregistre les articles en enonçant le prix de chacun puis les redispose avec une minutie impressionnante dans un autre panier : quand je dis impressionnant c'est vraiment impressionant : les articles sont soigneusement disposés selon leur poids, leur taille, leur nature en jolies piles, les bouteilles ou produits fragiles sont empaquetées dans un espèce de filet airbag, les produits frais ou surgelés dans des petits sacs en plastiques accompagnés de petits sachets-glaçons, etc...
Elle vous met quelques sacs plastiques (parfois aussi des baguettes, des serviettes, des pailles ou des cuillères en plastique selon vos achatsà) dans le panier puis vous allez faire vos sacs vous même sur des petites tables situées après les caisses.
2ème option dans les supermarchés un peu plus haute-gamme, c'est-à-dire dans les sous-sols de Deparment Store que l'on appelle Depachika) : une 2 caissière emballe vos courses avec le meilleur agencement possible dans le moins de sacs possibles (par contre vous passez des heures à tout déballer en rentrant chez vous puisque certains articles sont emballés sous 2 ou 3 couches d'emballages différents).

La monnaie : Peu d'erreur de monnaie ou d'arnaque possible au Japon : lorsque le ou la caissière vous rend la monnaie, il vous présente d'abord les gros billets qu'il recompte dans un geste très habile devant vous en les comptant à haute voix (parfois 2 fois) puis ensuite la monnaie qu'il vous présente distinctement.

"Chronique Japonaise" de Nicolas Bouvier : (quand je dis en vrac aujourd'hui c'est vraiment en vrac) J'achève actuellement la lecture de ce livre qui m'a été conseillé à plusieurs reprises. J'écrirai peut-être plus longuement dans un prochain article à ce sujet. J'ai du mal à me faire une opinion définitive sur ce livre, on y apprend pas mal de choses sur le Japon, notamment son histoire ancienne, ses interractions avec les pays étrangers ; l'auteur la principalement visité dans les années 50 et 60, mais le ton est un peu tristounet voire blasé par moment bien qu'il semble être un amoureux du pays, il y a aussi quelques erreurs en japonais qui m'ont un peu irritées mais ce n'est pas si grave que ça.
Je voulais pour l'instant juste relever quelques anecdotes amusantes : il semblerait que les Japonais portent un amour immodéré pour l'alcool depuis le début de leur histoire : en effet les premiers chinois à visiter ce pays étaient impressionnés par la fière allure de ses habitants sauf quand ceux-ci abusent d'alcool de riz ce qui leur semblait être très fréquent !
Une autre chose que j'ai relevé ici mais également dans "Ni d'Eve ni d'Adam" d'Amélie Nothomb : il semblerait que lorsque les japonais atteignent un âge bien avancé, ils deviennent très espiègles, rigolos, qu'il se "lâchent" quoi : ils ont tellement dû suivre de règles, bien se tenir toute leur vie qu'ils s'autorisent à se laisser aller une fois le plus gros de leur vie passée. Je n'ai pas eut l'occasion d'échanger avec beaucoup de vieillards ici, mais en tous cas je pense que mon propriétaire, Mr Zaima en soit un bel exemple !!! Il faut ajouter à cela qu'en général, les grand-parents retournent vivre chez leurs enfants qui s'occupent d'eux.

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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 19:29

De retour sur le blog, excusez mon absence mais j'ai été totalement débordée niveau boulot.

jud à Hiroshima - Okinawa, le marché de Naha

Mensoore ! (bienvenue en japonais d'Okinawa)

Voilà où se situe Okinawa : dans les Iles Ryukyu, à l'extrême Sud du Japon (1000km de l'Ile principale), presqu'en face de Taïwan et aux niveau du Tropic du Cancer. D'Hiroshima on s'y rend en 2h d'avion. Okinawa n'a fait parti du Japon que tardivement et a appartenu aux americains pendant 1 trentaine d'année il me semble. Les bases americaines sont toujours présentes et nombreuses.

On m'avait prévenu qu'Okinawa serait un choc culturel pour nous, que ça ne ressemblait absolument pas au Japon, mais venant de japonais qui n'ont bien souvent pas mis un pied en dehors de leur Ile, je ne l'avais pas particulièrement pris au serieux,
Mais en effet, ils avaient raison, ce n'est pas le Japon du tout ! (mes amis n'ont cessé de le répeter tout le long du voyage). Ni les paysages, ni les rues, ni l'architecture des bâtiments (on a l'impression que tout a été construit à la va-vite entre les années 50 et 80, cela ressemble plus au sud des Etats-Unis), ni les magasins, ni les restaurants. Très peu de vélos contrairement au reste du Japon (parce qu'il y a beaucoup plus de côtes). Je n'ai pas vu de salaryman, pas de yukata ni de kimonos, pas de looks extravagants comme au Japon. Les gens ne ressemblent pas à des japonais, ils ont d'ailleurs assez peu le type asiatique (yeux quasiment pas bridés), la cuisine est totalement différente (je vais revenir sur ce point plus tard). Pas d'exagération de politesse comme dans le reste du Japon (je me suis fait écrasée le pied par une jeune fille, elle m'a simplement dit un vague "gomen" (pardon) alors qu'au Japon, la personne se serait confondue en excuses pendant 10 min et limite mise à genoux en pleurant... (oui bon j'éxagère un peu)).
Ce qu'on retrouve : les distributeurs de boisson et cigarette à tous les coins de rue, les conbini (mais seulement les Lawson et les Familiy Mart)
Les plages, les paysages et la nature sont magnifiques et impressionnant, c'est très vert (de nombreux palmiers), on croirait même dans certains coins de la ville que la nature a repris le dessus.

 

Poissons de l'aquarium de l'Aéroport.
 

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A notre arrivée 32°, alors qu'au même moment sans que nous le sachions la température déjà raffraichie depuis quelques temps était passée à 14° à Hiroshima.

Centre ville de Naha
 
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Le marché de Naha, Hondori-street
 
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Des poissons de toutes les couleurs et vers le fond, l'espèce de monstre blanc avec une bouche grise : un fugu dépecé.


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D'énormes crevettes et crabes.

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Des tas de fruits exotiques.

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Un visage de porc, la spécialité d'Okinawa. On mange énormément de porc sur cette Ile.

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Daiji et Ya-chan

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Une soupe d'encre de seiche.

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1er repas à Okinawa : nous avons commandé des sashimis, mais quasiment personne n'y a touché, selon mes amis, les poissons vivant dans l'eau chaude ont très mauvais goût et sont trop mous. On en mange donc très peu sur l'Ile. Tout ce que nous commandons est assez riche et gras et principalement à base de riz et de viande. Très loin de l'image que je me faisais de la cuisine d'Okinawa. Quand je leur ai parlé du fameux régime d'Okinawa, ils ont tous fait des yeux ronds : jamais entendu parlé, la cuisine d'Okinawa est réputée pour être plutôt mauvaise et bien moins bonne pour la santé et variée que celle du Japon. Ils sont au courant que les records de longévité sont  détenus par les habitants d'Okinawa mais attribuent ça à la consommation de porc (j'en doute un peu quand même) mais en effet au cours de ces 4 jours nous avons été très déçus par la cuisine : peu  variée : omerice (riz à l'omelette et à la sauce tomate), taco-rice (riz à la viande hachée façon mexicaine), soba au porc, et principalement de la junkfood américaine (qui il faut le reconnaître est plutôt bien réussie)


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Kenta et Sam, ils viennent d'Hiroshima mais vivent depuis plusieurs années à Okinawa.

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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 19:11

Une plage à 2h30 de route de Naha (les Japonais ne sont jamais effrayés par les longues distances en voiture, même si ce n'est que pour rester quelques heures dans un lieu).

 

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Daiji dans la voiture au milieu des champs de Cannes à Sucre.

 

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Yasu


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l'eau turquoise est totalement tiède, certainement à plus de 30° parce que j'étais surprise alors que je m'étais déjà baignée dans le l'eau à 28 ou 30°

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Daiji qui enfile les palmes et le tuba

 

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Sam

 

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Orion, la bière star d'Okinawa, tout est sponsorisé Orion de partout.

 

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un petit Bernard L'Hermite, il en couraient dans tous les sens sur la plage
 


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Soirée dans un bar-resto du centre de Naha
 
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Ricky et sa femme (en blanc) venus avec nous d'Hiroshima et à droite Saochi, qui nous accueille tout le séjour, elle vient d'Hiroshima mais vit sur l'Ile depuis un peu plus de 4 ans.

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un joli tableau dans le restau

Photos collectives dans la rue pour l'anniversaire d'un des serveurs

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Affiche à l'entrée d'un club : comme dans beaucoup de lieux au Japon, les militaires americains sont réfusés dans les bars et les boîtes de nuit car ils causent énormément de problème et sont à l'origine de nombreux viols de japonaises. Mais le début de l'affiche est quand même un peu surprenant...

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Des sobas d'Okinawa en rentrant de soirée, achetées à emporter dans une soba-ya 24h/24

Notre jolie petite chambre de guesthouse (par contre la douche et les toilettes sont dans le couloir et il faut mettre des pièces dans la clim pour la faire fonctionner mais pour 2500 yens la nuit (17 euros) c'est parfait ! )
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4 octobre 2008 6 04 /10 /octobre /2008 18:53

jud à Hiroshima - Okinawa, Nago

En route pour Nago au Nord de l'Ile, comme vous pouvez le constater, nous sommes équipés du GPS mais cela ne nous empêche pas de nous perdre un tas de fois et de faire des détours inutiles (bien que la route de Naha à Nago soit toute droite), j'ai remarqué que l'on se perdait tout le temps en voiture au Japon... Nous avons dû loué une voiture à notre arrivée car Okinawa n'est quasiment pas équipée en train et transports en commun.

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Arrêt en bord de route pour manger des soki soba (Soba d'Okinawa)

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Soba assez épaisses, porc, tranches de pâte de poisson, omelette ciselée et négi.

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Une affiche à l'éffigie de la "gastronomie" américaine, de partout sur l'Ile on peut voir ce genre d'affiches et de nombreux restaurants à Hamburger ou à Steack.

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Le Terrace Hotel, l'Hotel de luxe où Yasu et Mami ont décidé de passer la nuit.
 
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La piscine de l'Hôtel où nous avons passé une partie de l'après-midi, mais le prix des boissons et de la nourriture étaient plsu qu'effrayants !

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La liste des animaux dangereux que l'on peut rencontrer en mer à Okinawa, l'Ile est également envahie par les serpents Habu, des seprents vénimeux apparemment venus de Taïwan.

A un Festival de charité pour sauver le corail, juste avant le typhon

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Le cottage que nous avons loué pour passer la nuit
 
jud à Hiroshima - Okinawa, Nago
 
Comme nous étions rentrés tards qu'il pleuvait des cordes et que nous étions tous fatigués, plutôt que sortir manger dehors nous avons acheté des provisions au Conbini du coin, mais je les ai quand même entendus dire enfin d'après-midi, alors que nous avions mangé un énorme bol de soba à midi, un énorme hamburger au festival et des tas de cochonneries dans la voiture : "ho j'ai faim, je ferai bien un vrai repas ce soir, on a rien mangé de la journée" (???? moi qui me demandais si on allait pouvoir encore avaler quelque chose le soir !)

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Le cottage est très bien et confortable : un grand salon, une salle à manger, une cuisine, une salle de bain et les toilettes au rez-de-chaussée et une chambre avec 2 grands lits à l'étage, plus quelques couchages dans un placard permettant de faire dormir plusieurs personnes dans le salon)

jud à Hiroshima - Okinawa, Nago
 
Comme dans toute maison au Japon, la cuisine est équipée des 2 choses indipensables : une bouilloire et un rice-cooker.

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Susu et Daiji, non non vous ne voyez pas double
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  • : Ma vie quotidienne à Hiroshima depuis le 28 Juin 2007
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C'est quoi ce blog ?

Ce blog n'est pas un site informatif sur le Japon, ce n'est pas un blog sur les mangas ni la J-Pop... C'est un roman-photo. Il s'adresse avant-tout à mes amis (la communauté Hiroshimarseille) et ma famille, c'est juste ma vie quotidienne à Hiroshima et quelques réflexions et anecdotes à propos de ce que j'observe ici mais WELCOME, ne vous gênez pas pour venir jeter un coup d'oeil ou laisser un commentaire.

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